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Prendre soin de son microbiote intestinal pendant les fêtes

Découvrez comment prendre soin de votre microbiote pendant les fêtes. Informations sur des habitudes alimentaires équilibrées pour une digestion optimale.

Si les fêtes de fin d’année sont synonymes de convivialité et de gourmandise, la période est également propice aux petits excès. Les repas copieux et arrosés sont parfois redoutés par celles et ceux qui souffrent de troubles intestinaux. Bonne nouvelle : il est possible de combiner plaisir et bien-être grâce à quelques réflexes qui vous permettront de prendre soin de votre microbiote pendant les fêtes. De quoi attaquer une nouvelle année en pleine forme et sans frustration ! 

Pourquoi choyer son microbiote pendant les fêtes ?

Moment très attendu, entre retrouvailles familiales et festivités, la fin d’année est souvent associée à l’abondance. Petits fours et canapés, champagne, plats en sauce, foie gras, chocolat, bûche et confiseries : difficile de résister à autant de tentations ! S’il ne s’agit pas de se priver, il est essentiel de ménager son organisme pour éviter de payer un lourd tribut à ces instants privilégiés. En effet, les repas riches et arrosés ne sont pas sans conséquences sur le système digestif et les organes émonctoires, comme le foie et les reins. Résultat : il peut s’ensuivre des troubles plus ou moins gênants, allant des ballonnements à l’indigestion.

Ce phénomène est d’ordre mécanique. Lorsque l’estomac est trop rempli ou parvient difficilement à transformer les aliments, le passage vers l’intestin grêle est ralenti, voire bloqué. L’accumulation de sucs gastriques peut également entraîner des remontées acides et des brûlures d’estomac.

Au-delà des conséquences à court terme, qui restent passagères, les excès alimentaires peuvent conduire à une altération durable du microbiote intestinal. Les menus de fête se démarquent par une forte teneur en graisses saturées, protéines animales, sel et sucre. Parallèlement, les fruits et légumes, céréales, fruits oléagineux et légumes secs sont délaissés. Or, ces aliments contiennent des fibres qui constituent la matière première essentielle au développement du microbiote. L’appauvrissement de la flore intestinale peut mener vers la dysbiose et, par conséquent, à une augmentation des micro-organismes délétères dans la population des bactéries commensales.

Quelques bons réflexes pour préserver sa flore intestinale

Manger lentement

Prendre le temps de mâcher et d’apprécier la nourriture vous permettra non seulement de profiter davantage de la bonne chère, mais également de mieux digérer. En ralentissant le rythme d’ingestion des aliments et en vous accordant des pauses entre chaque plat, vous éviterez les sensations de trop-plein désagréables. Vous vous sentirez rassasié plus rapidement et vous réduirez automatiquement les quantités.

S’hydrater régulièrement

Entre deux verres de vin, pensez à boire un verre d’eau. Cette règle simple vous aidera à limiter votre consommation d’alcool, dont les effets sont redoutables sur la barrière digestive

Bouger de temps en temps

Rester assis à table pendant des heures est à la fois fatiguant pour l’organisme et pour le système digestif. N’hésitez pas à vous lever de table, que ce soit pour aider les hôtes à débarrasser, vous étirer ou organiser une petite promenade entre le fromage et le dessert.

Troquer le traditionnel digestif contre une tisane aux plantes

Il n’a de « digestif » que le nom. Ce petit verre d’alcool fort dégusté en fin de repas apporte une sensation de bien-être passagère en raison de son effet dilatateur sur l’estomac. Effet de courte durée en contrepartie d’un surcroît d’acidité et d’une plus grande toxicité pour le foie, chargé d’éliminer l’alcool. Si vous n’êtes pas un inconditionnel des digestifs et du « trou normand », vous pouvez remplacer cette étape par une tisane à base de verveine et de mélisse, qui vous aidera véritablement à mieux digérer.

Et surtout de consommer la tisane Hygie de Basal Nutrition qui est base de verveine et de mélisse !

Et après ? 

Si ces quelques mesures peuvent limiter légèrement l’impact des fêtes sur votre microbiote, le rééquilibrage alimentaire est le meilleur cadeau que vous puissiez faire à votre intestin ! Et après de telles sollicitations, il le mérite bien.

Pas de régime trop restrictif

Jeûner ou commencer une monodiète juste après les fêtes n’est pas conseillé. Les régimes restrictifs peuvent entretenir une dysbiose. Insuffisamment nourri, votre microbiote ne pourra pas se reconstituer. Privilégiez des repas sains et équilibrés, riches en fibres et pauvres en graisses saturées et en sucres. Augmentez les rations de protéines végétales, non seulement rassasiantes, mais également sources de fibres. Vous pouvez bien sûr vous aider des préparations culinaires Basal pour faire le plein de prébiotiques.


Bon à savoir : très tendances, les cures détox à base de jus de fruits et légumes pressés à froid sont à éviter. En effet, les techniques d’extraction éliminent la quasi-totalité des fibres présentes dans les végétaux. Résultat : les sucres sont assimilés trop rapidement et la flore intestinale n’est pas suffisamment « nourrie » car il y a peu, voire pas de fibres dans les jus.

Rééquilibrer sa flore avec une cure de probiotiques

Après les fêtes, vous pouvez miser sur des probiotiques pour stimuler la flore intestinale. Veillez à choisir des produits contenant les souches les plus efficaces sur le système digestif, comme les lactobacilles. La cure DIGESTY est composée de 10 milliards de souches probiotiques vivantes, activées par lacto-fermentation. Elle est idéale en cas de troubles intestinaux passagers (ballonnements ou constipation) et pour soulager le SII (Syndrome de l’Intestin Irritable), en association avec des mesures hygiéno-diététiques.

 Cure de probiotiques naturels Digesty 

Se remettre au sport sans trop attendre

Même si les froidures de l’hiver n’incitent pas tellement à se dépenser en plein air, faire de l’exercice — de préférence en extérieur — sera particulièrement salvateur pour votre microbiote et votre organisme en général. L’activité physique permet de relancer le système digestif, stabiliser le transit… et améliorer la santé de la flore intestinale. Certaines études suggèrent que le sport peut optimiser la diversité des souches bactériennes qui constituent le microbiote. Le rythme idéal ? Deux à trois séances de 45 minutes par semaine. Cela tombe bien, la nouvelle année est souvent associée aux bonnes résolutions !


Le saviez-vous ? L’équilibre alimentaire se mesure essentiellement sur la durée. Rien ne sert de culpabiliser après un repas de fête ! Mais adopter quelques bonnes habitudes pour bien manger toute l’année et éviter le plus possible les ingrédients transformés sont des réflexes qui ne peuvent être que bénéfiques pour votre flore intestinale.

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